vendredi 30 janvier 2009

http://groups.google.com/group/quid-post-mortem

Ce groupe accueille chaleureusement tous ceux qui se demandent s'il y a une "vie" ou le néant après la "mort", quelles que soient les conceptions philosophiques religieuses ou athée de chacun.

Bienvenue à tous.

Paul

jeudi 22 janvier 2009

lundi 19 janvier 2009

----------------- Bulletin Email -----------------
De : ptitfred
Date : 19 janv. 2009, 17:10


Le 7 novembre 1999, une Messe solennelle avait lieu dans la Basilique inférieure de Lourdes. Elle était célébrée par l’archevêque de Lyon et concélébrée par l’archevêque de Paris, le cardinal Jean-Marie Lustiger, ainsi que par beaucoup d'autres évêques français, de prêtres et tous les supérieurs des monastères trappistes du monde. La cérémonie était retransmise en direct par la télévision française.


Pendant l’offertoire, le célébrant avait placé sur l’autel deux hosties beaucoup plus grandes que les autres, comme il est coutume en France. Grâces aux différentes caméras, on aperçoit clairement les deux hosties posées l’une sur l’autre, formant un corps unique, de sorte que l’on ne remarque pas qu’il y en a deux. Elles sont posées sur la patène et y adhèrent parfaitement.


À l'instant de l’épiclèse, c'est-à-dire lorsque les prêtres étendent les mains en invoquant l'Esprit Saint, on note le phénomène suivant : l'hostie supérieure se détache de celle de dessous en se soulevant. Le mouvement est impressionnant : l'hostie s'élève comme mue par un ressort et après trois ou quatre oscillations dans l'air, celle-ci prend une position fixe, horizontale, à environ un centimètre au-dessus de l’autre, et reste ensuite dans cette position jusqu'à la fin du Canon.


Il se trouve que les images télévisées sont riches en gros plans au point de pouvoir apercevoir nettement la couleur du vêtement d'un des concélébrants entre les deux hosties, de l'autre côté de l'autel.


Des experts ont longuement examiné les enregistrements de ces images, et ont écarté toute possibilité d’illusion optique ou de trucage.


Miracle ? Les autorités ecclésiastiques françaises, interpellées plusieurs fois, sont restées très discrètes là-dessus en refusant tout commentaire officiel.
Cependant, il n’est pas possible de voir la vidéo sans éprouver une émotion indescriptible en constatant ce fait extraordinaire qui ne trouve pas d’explication rationnelle…

Rapporté et commenté par Renzo Allegri dans son dernier livre "Il Sangue di Dio" (le Sang de Dieu).

dimanche 18 janvier 2009

----------------- Bulletin Email -----------------
De : J. S. BACH
Date : 17 janv. 2009, 17:27


Unaccompanied Suites for Cello No 3 'Allemande'

is uploaded into music player.




BWV 1007, BWV 1008, BWV 1009, BWV 1010, BWV 1011, BWV 1012





The Six Suites for Unaccompanied Cello by Johann Sebastian Bach are acclaimed as some of the greatest works ever written for solo cello. They were most likely composed during the period 1717–1723, when Bach served as a Kapellmeister in Cöthen.


The first page from the manuscript of Suite No. 1 in G major, BWV 1007

The suites contain a great variety of technical devices, a wide range of emotional content, and some of Bach's most compelling voice interactions and conversations. It is their intimacy, however, that has made the suites amongst Bach's most popular works today, resulting in their different recorded interpretations being fiercely defended by their respective advocates.


The suites have been transcribed for numerous instruments, including the violin, viola, double bass, viola da gamba, piano, marimba, classical guitar, recorder, horn, saxophone, bass clarinet, bassoon, trumpet trombone, euphonium, and tuba.



History:

An exact chronology of the suites (regarding both the order in which the suites were composed and whether they were composed before or after the solo violin sonatas) cannot be completely established. However, scholars generally believe that—based on a comparative analysis of the styles of the sets of works—the cello suites arose first, effectively dating the suites pre-1720, the year on the title page of Bach's autograph of the violin sonatas.


The suites were not widely known before the 1900s, and for a long time it was generally thought that the pieces were intended to be études. However, after discovering Grützmacher's edition in a thrift shop at age 13, Pablo Casals began studying them. Although he would later perform the works publicly, it was not until he was 48 that he agreed to record the pieces, becoming the first to record all six suites. Their popularity soared soon after, and Casals' original recording is still widely available today.


Attempts to compose piano accompaniments to the suites include a notable effort by Robert Schumann. In 1923, Leopold Godowsky realised suites 2, 3 and 5 in full counterpoint for solo piano.


Unlike Bach's violin sonatas, no autograph manuscript survives, thus ruling out the use of an urtext performing edition. However, analysis of secondary sources—including a hand-written copy by Bach's second wife, Anna Magdalena—have produced passably authentic editions, although critically deficient in the placement of slurs and other articulation. As a result, many interpretations of the suites exist, with no singularly accepted version.





BWV 1007, BWV 1008, BWV 1009, BWV 1010, BWV 1011, BWV 1012







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